Délai de mise en ligne des vidéos du Rassemblement

Le Grand rassemblement tout juste écoulé a mis en lumière des points importants parmi lesquels j’aimerais souligner l’entraide, l’échange de service et le soutien mutuel qui sont au cœur de la raison d’être du REFAD. À travers les partenariats développés pour l’événement, le REFAD privilégiera les fournisseurs qui nous ont offert leurs services. Cela se manifestera sans doute dans la refonte prochaine de notre site Web, entre autres.

Au moment où j’écris ces lignes, l’apport de Frédéric Gagné, spécialiste du soutien et de l’accompagnement en formation à distance au Cégep de Trois-Rivières, s’inscrit parmi nos plus précieux soutiens. Rappelons que le Cégep de Trois-Rivières a mis à disposition du REFAD une licence Zoom pour la diffusion des conférences dans une seconde salle pendant l’événement. Frédéric s’acquittait du soutien de seconde ligne durant l’événement et, bien sûr, ce service s’est manifesté avec la création des enregistrements vidéos des ateliers-débats, enregistrements qu’il convient maintenant de traiter.

Le besoin d’expertise minimale en une foule de domaine constitue à n’en pas douter l’un des plus importants défis du directeur général du REFAD qui a agi seul pendant de nombreux années et continue de le faire, dans l’attente d’une refonte des responsabilités au sein de l’organisation. L’édition vidéo constitue un bon exemple de ces contraintes. Avant mon arrivée à la barre du REFAD, un fournisseur éditait et montait les vidéos pour le Réseau. À mon arrivée, j’ai repris cette activité, me disant qu’il demeure facile de prendre les vidéos Zoom d’ateliers et de les placer en ligne dans notre canal YouTube. Mais il s’agit d’une toute autre paire de manches que d’éditer des vidéos de manière professionnelle!

Depuis le Rassemblement, je suis donc confronté au besoin de créer une image d’accueil, une page de crédit et un segment vidéo de chaque conférence. L’ami Frédéric m’a guidé pour ce faire dans… PPT! Je n’aurais jamais cru que cela soit possible auparavant et le processus aurait été simple comme bonjour s’il voulait bien s’en tenir à la réclame. Mais ce n’est pas le cas. J’ai en effet réussi à créer une ou deux vidéos de cette manière, mais la grande majorité a achoppé sur de mystérieux problèmes qui se manifestent par le logiciel qui « se plante », comme on dit. De son côté, l’éditeur YouTube demeure un mystère de simplicité, efficace mais apparemment limité.

La différence entre les deux approches étant que dans le monteur YouTube, je suis en mesure de retrancher les segments indésirables, alors qu’avec YouTube, j’extraie le contenus souhaité et les diapositives « recollent » tout cela en une seule vidéo. Coupure des segments indésirables dans une approche vs extraction (et recollage) des segments désirés dans l’autre. Pourtant, à considérer les défis rencontrés, il nous faudra sans doute nous tourner vers Shotcut, ce que nous avons évité de faire jusqu’à maintenant, par manque de connaissance du logiciel et temps pour l’apprendre. Au final, cet investissement en aurait certes valu la peine au départ, à considérer les délais à ce jour!

Eh oui, ce long préambule pour dire que les vidéos promises la semaine dernière ne sont toujours pas en ligne. Certaines le sont tout de même déjà, dans notre canal YouTube où j’ai créé une liste de lecture (huit vidéos au moment de la publication) pour le Rassemblement, en attendant de pouvoir commencer (sous peu) à placer ces extrants dans notre site d’événement. En terminant et pour ceux qui se posent la question, l’image d’entête est supposée représenter la provenance des participants au Rassemblement, i.e. de partout au Canada francophone.

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